La cuve à jus est la désignation de ces orifices que l’on aime tant, mais avec l’idée que le sperme ne s’en écoulera pas et que tout le jus sera alors gardé bien au fond de ce trou à jus. Traditionnellement quand on parle de la cuve à jus, c’est également pour désigner une lope qui reçois le sperme de plusieurs partenaires au fond d’elle. Il faut comprendre par-là que la cuve donne l’image d’un récipient pouvant accueillir une grande quantité de sperme ou de pisse.
Alors, la différence entre le trou à jus et la cuve à jus ne serait que la quantité de sperme pouvant être accueillit ? Pas totalement. Comme dit précédemment, il y a également l’idée de contenance et pas qu’au niveau de la quantité. Le sperme pourra être gardé au fond afin d’y être tassé.
Ce terme s’emploie parfaitement avec le gavage : là aussi il y a l’idée d’une forte quantité de jus qui serait prête à déborder ! Il n’est pas rare de voir avec la cuve à jus l’utilisation d’accessoires pour aider à ce gavage du trou à jus : spéculum, entonnoir, etc. Tout est bon pour dilater l’anus afin de pouvoir y mettre un maximum de foutre et éviter que celui-ci s’en échappe !
De plus, avec ces accessoires, il y a un meilleur « visuel » pour apprécier la quantité de sperme ainsi utilisé et alors, pour ceux qui aiment patauger dans le foutre, le plan jus atteindra son paroxysme !
Contrairement au trou à jus, la cuve à foutre pourra elle être considéré comme soumise par des maîtres bdsm : elle pourra être soumise, l’utilisation d’accessoires permettant une scénarisation de jeux de domination et de soumission.
En image : “Tu le vois ça ? C’est ma cuve à jus perso, alors remplis moi, suis endurant !”
